Un accord a été convenu avec les professionnels du secteur de la presse pour mettre en place un partenariat solide en vue d’élaborer un programme répondant aux contraintes immédiates du secteur et examiner les moyens d’y faire face à long terme, a annoncé, vendredi à Rabat, le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, M. Othman El Ferdaous.
Il a également été convenu de former un groupe de travail conjoint pour traiter les questions intéressant le secteur, a indiqué le ministre dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion avec les professionnels du secteur consacrée à l’examen des problématiques du secteur de la presse écrite et électronique, y compris les contraintes liées à la pandémie du coronavirus.
Lors de cette rencontre qui s’est déroulée en présence du président de l’Association nationale des médias et des éditeurs (ANME), Abdelmounaim Dilami, du président de la Fédération marocaine des médias, Kamal Lahlou, du journaliste Ahmed Charai, ainsi que de Fouzi Lekjaa, directeur du budget au ministère de l’Économie et des Finances, M. El Ferdaous a relevé que “le secteur de la presse a besoin d’un modèle de développement spécial”.
Pour sa part, M. Dilami indiqué que la réunion a été “très positive” et a été consacrée aux différentes problématiques du secteur, en l’occurrence les contraintes liées à la conjoncture sanitaire exceptionnelle générée par l’épidémie de la Covid-19 et les problématiques structurelles dont souffre le secteur des médias.
Pour sa part, M. Dilami indiqué que la réunion a été “très positive” et a été consacrée aux différentes problématiques du secteur, en l’occurrence les contraintes liées à la conjoncture sanitaire exceptionnelle générée par l’épidémie de la Covid-19 et les problématiques structurelles dont souffre le secteur des médias.
La pandémie du coronavirus “a clairement montré le rôle important et fondamental” que les médias jouent au sein de la société, car ils contribuent “avec une grande efficacité et un esprit patriotique élevé à sa cohésion”, d’autant plus que les professionnels du secteur ont continué à travailler pendant les trois mois du confinement sanitaire dans des conditions très difficiles et sans revenus ou rémunérations, a-t-il souligné.