Selon un haut responsable, Microsoft ne vendra pas sa technologie «tant qu’il n’y aura pas de législation fédérale solide basée sur les droits de l’Homme ».
C’est ce que Microsoft vient d’annoncer. Un refus catégorique à la police américaine d’accéder à sa technologie de reconnaissance faciale, en l’absence de législation.
Une démarche qui s’inscrit sur fond des manifestations contre les violences policières. Et qui vient soutenir l’annonce de IBM de suspendre la vente de logiciels d’identification pour des fins de surveillance de masse, de profilage racial et de violations des droits et libertés humaines de base.