L’Initiative civile des associations indépendantes de la région Dakhla Oued-Eddahab a catégoriquement rejeté les allégations contenues dans le dernier rapport d’Amnesty international (AI) qui adresse des accusations tendancieuses à l’encontre du Royaume.
“S’appuyant sur une vision préétablie, ce rapport bâclé qui n’a rien à voir avec un document sur les droits de l’Homme se transforme plutôt en moyen de pression politique de nature provocatrice et diffamatoire contre le Maroc”, note le communiqué qui déplore “une terminologie brutale basée sur des accusations injustes et une absence des preuves” dans ce rapport dénué non seulement de tout fondement, mais aussi de toute crédibilité.
L’Initiative, une coalition d’une trentaine d’ONG actives dans la région de Dakhla Oued-Eddahab, appelle ainsi l’AI à fournir des preuves ou présenter ses excuses pour “sauver la face vis-à-vis de l’opinion publique mondiale”, sachant que ce rapport “nuit plus à l’image d’Amnesty International qu’à celle du Maroc”, qui est devenu au cours des dernières décennies un modèle en matière de droits humains, au regard les acquis réalisés grâce aux réformes majeures et structurant menées par le Royaume.
Elle a aussi jugé indispensable pour toutes les associations et organisations nationales de déployer davantage d’effort au niveau international pour mettre en avant les chantiers, projets et institutions des droits de l’Homme et faire des plaidoyers devant toutes les organisations concernées à l’étranger, dans le cadre d’une diplomatie civile efficace, forte et dynamique qui adopte une approche prospective.