Les Marocaines et les Marocains ont vécu une nuit dans une certaine euphorie. Ils avaient envie, voire besoin, d’un moment de bonheur avec les temps qui courent. Aux alentours de 22 heures dimanche, on s’était réconcilié avec la joie. Même éphémère. Les Lions locaux de l’Atlas ont remporté la deuxième couronne consécutive du CHAN.
Mais, personne ne s’attendait à L’Horreur de la matinée du lundi. Valeur 18 heures, on avance le chiffre de 28 morts dans l’usine dite clandestine de Tanger. 18 femmes et 10 hommes. La mort ne distingue pas.
Les questions fusent. Les reponses rarissimes.
Qui aurorise quoi ? Qui contrôle quoi ? Ce n’est pas une première fois. L’espoir est qu’on prenne au sérieux la problématique. Et c’en est Une. Parmi d’autres. Tanger n’est pas une exception. D’autres villes comptent des ateliers ou usines de la même famille.