« Plus de 40 % des entreprises algériennes seraient menacées de disparition » a affirmé la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA).
Selon le président de la CIPA, Abdelouahab Ziani, cité par le journal « Liberté » vient de tirer la sonnette d’alarme. Pour lui perdre ces sociétés, créées il y a 10 ou 20 ans, équivaut un vide économique car « il sera difficile de les remplacer du jour au lendemain ».
Le président de la CIPA a déploré les contraintes bureaucratiques, les résistances et les réticences à tous les niveaux de responsabilité faisant savoir que les managers de ces sociétés ne cachent pas leur inquiétude quant aux conséquences désastreuses de cette double crise sanitaire et économique qui se profilent à l’horizon.