260 000 emplois directs créés par le secteur de la pêche maritime

260 000 emplois directs créés par le secteur de la pêche maritime

- in Société
الصيد البحري

260 000 postes d’emploi directs offerts par le secteur de la pêche maritime

La secrétaire d’État auprès du ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, chargée de la pêche maritime, Zakiya Driouch, a déclaré lundi à la Chambre des représentants que le secteur de la pêche maritime offre aujourd’hui environ 260 000 postes d’emploi directs.

Driouch a souligné, en réponse à une question orale sur « l’importance du secteur de la pêche maritime dans la création d’emplois », posée par le groupe de l’Istiqlal lors de la session des questions orales, que ces postes se répartissent entre 131 000 emplois à bord des navires de pêche et 126 000 emplois au sein des unités industrielles, sans oublier 1 400 postes dans le domaine de l’aquaculture, en plus de milliers d’emplois indirects.

La représentante gouvernementale a confirmé que ces chiffres reflètent l’évolution et la compétitivité du secteur, en précisant que plusieurs mesures ont contribué à l’augmentation des emplois, notamment le fait que 96 % des volumes débarqués sont gérés de manière durable, grâce au développement de la recherche scientifique et des contrôles. De plus, a ajouté Mme Driouch, le soutien au tissu industriel des produits de la mer a également joué un rôle dans la création d’emplois au sein du secteur.

Parmi les autres mesures évoquées par Driouch, figure l’encouragement à « la création de nouvelles entreprises et coopératives pour le commerce de gros de poissons ».

La secrétaire d’État a insisté sur le fait que le secteur de la pêche maritime contribue à renforcer le marché de l’emploi, soulignant que la stratégie « Halieutis », à travers ses programmes et ses projets structurants, a aidé à accroître l’attractivité du secteur et à renforcer les emplois.

Loading

You may also like

Iran : Nous ne négocierons jamais sur les missiles ni sur l’arrêt de l’enrichissement.

Le vice-ministre des Affaires étrangères iranien, Majid Takht-Ravanchi,