Vancouver, le 26 avril 2025, a tremblé sous le choc d’un drame tragique après qu’une voiture lancée à toute allure a percuté des foules participant à un festival de rue, entraînant la mort de neuf personnes et blessant d’autres.
La police locale a rapidement arrêté le conducteur, indiquant que les enquêtes préliminaires n’ont pas révélé de motivations terroristes derrière l’incident. Les autorités n’ont pas encore divulgué les raisons de cet événement, laissant de nombreuses questions sans réponse.
L’accident a eu lieu peu après l’arrivée de Hicham Gerando au Canada, où il a fait des déclarations controversées portant atteinte aux agences de sécurité marocaines tout en louant de façon excessive la police canadienne.
Gerando, connu au Maroc pour son implication dans des affaires d’extorsion numérique et à la tête d’un réseau de fraudeurs, avait fui à l’étranger après avoir reçu plusieurs condamnations. Ses nouvelles déclarations ont ravivé l’attention sur lui, surtout à la lumière du tragique incident qui a semblé, pour certains, être une claque à la confiance aveugle qu’il plaçait dans les autorités canadiennes.
Les Canadiens vivent aujourd’hui un choc immense, tandis que les interrogations se multiplient sur la validité des jugements hâtifs d’un certain nombre de fugitifs. Gerando cherchait-il à redorer son image en dénigrant son pays d’origine ? Ou le rapprochement entre ses déclarations et la tragédie n’est-il qu’une coïncidence malheureuse ?
Une chose est certaine : Vancouver décompte ses pertes dans un climat de tristesse, alors que les fils de cet incident entament une nouvelle réflexion sur la sécurité publique et la responsabilité du discours médiatique porté par certains lorsqu’ils traversent les frontières.