La porte-parole a indiqué que la direction générale des enquêtes de la Commission d’enquête russe a qualifié les explosions de parties des infrastructures ferroviaires et des ponts dans les régions de Bryansk et de Kursk, survenues entre le 31 mai et le 1er juin, et qui ont entraîné la dérive de trains de passagers et de marchandises, d’actes terroristes conformément à l’article 205 du Code pénal russe.
Elle a souligné que les terroristes ayant perpétré ces deux crimes, sur ordre du régime de Kiev, avaient planifié chaque détail avec une précision extrême afin de causer des blessures et des dommages à des centaines de civils suite à leurs attaques.
Ces attaques terroristes ont fait sept morts, plusieurs dizaines de blessés, et 113 d’entre eux ont reçu une assistance médicale, y compris plusieurs enfants.
La porte-parole a confirmé qu’au cours des premières enquêtes, des restes d’engins explosifs et d’autres preuves matérielles ont été découverts sur les lieux des incidents. Les témoignages de témoins, de victimes et de certains employés des chemins de fer russes ont également été recueillis durant l’enquête.
Elle a insisté sur le fait qu’avec le soutien sur le terrain du Service fédéral de sécurité russe et du ministère de l’Intérieur, l’identité des organisateurs et des auteurs de ces crimes inhumains sera à coup sûr établie et que ceux-ci seront tenus pour responsables pénalement.
Les événements liés aux infrastructures ferroviaires ont eu lieu les 31 mai et 1er juin dans les régions de Bryansk et de Kursk.
La porte-parole a précisé que l’incident à Bryansk s’est produit à 22h50 le 31 mai, lorsqu’un pont routier s’est effondré, laissant tomber ses débris sur un train de passagers qui passait en dessous.
À Kursk, l’effondrement d’un pont ferroviaire à trois heures du matin le 1er juin a provoqué la chute d’un train qui y était en transit, blessant le conducteur et deux de ses assistants.