Le dossier du Sahara se clôt… et l’ONU baisse pavillon.

Le dossier du Sahara se clôt… et l’ONU baisse pavillon.

- in International

Voici la traduction demandée :

Nous voici enfin à cette moment tant attendu : le moment où la vérité se dévoile, où les masques tombent, et où ceux qui manœuvraient sous le couvert de la « légitimité internationale » lèvent le drapeau blanc.

La décision de l’Organisation des Nations Unies de réduire la présence de ses employés sur le dossier du Sahara, à commencer par le HCR à Tindouf, puis par Laayoune, et enfin le bureau de Rabat, n’est pas une simple mesure administrative due à des pressions financières, comme l’on veut nous le faire croire, mais une annonce sur le terrain de la fin de son rôle dans un conflit qui a longtemps perdu son caractère international.

L’ONU se retire parce que le dossier lui échappe. En toute simplicité : le monde n’a plus confiance en la capacité de l’organisation à générer une solution, et le Maroc a imposé le seul cadre de solution réaliste qui soit.

Depuis des décennies, la MINURSO a été présentée comme une bouée de sauvetage pour une diplomatie de stagnation. Aujourd’hui, cette bouée est paisiblement coupée, dans un silence surprenant de la part de l’Algérie et de ceux qui la soutiennent, comme s’ils avaient réalisé qu’ils avaient perdu la bataille sans combattre.

Depuis que l’Amérique a reconnu la marocanité du Sahara, suivie par la France, le Brésil et récemment le Royaume-Uni, il ne reste aux séparatistes que les illusions de leur ancien discours. Mais dans la réalité, les cartes changent, les ambassades s’ouvrent, et les projets se concrétisent à Dakhla et à Laayoune, avec le financement de pays qui n’investissent leur argent que là où existe une souveraineté légitime.

L’Algérie, qui observe ce tournant avec une certaine désorganisation, a préféré rappeler son ambassadeur à Londres pour consultation, en essayant d’absorber la surprise due à la reconnaissance d’un troisième membre permanent du Conseil de sécurité du projet de règlement autonome. Cette position britannique, claire et précise, n’a laissé aucune place à l’ambiguïté et a mis l’Algérie face à un mur de vérité : son projet de division s’effondre sous le poids de la réalité.

Soyons sincères : il n’y a plus de conflit. Il n’existe qu’un système obsédé par la propagande qui cherche à se défouler intérieurement par son attachement à un dossier dont la date de péremption est dépassée. L’Algérie, aujourd’hui, n’est pas seulement isolée dans ce dossier, mais démasquée devant son peuple et le monde : elle a dépensé des milliards pour un entité fictive, et n’a récolté que des désillusions, une réduction de son rôle, et un effondrement de sa crédibilité.

Quant à l’ONU, nous ne pleurerons pas son départ… car, au cours de ses dernières années, elle a été un fardeau et non un atout. Ses rapports sont gris, ses envoyés naviguent sur la glace d’un équilibre artificiel, et son budget s’égare sans résultat. Le Maroc a compris cela tôt et a décidé de parier sur le terrain, et non sur le papier.

Et la terre ne ment pas.

Quel est le constat ?
Le dossier du Sahara se clôt car le monde en a assez d’attendre.
Le dossier du Sahara se clôt car le Maroc a imposé le fait accompli légitime, avec la force de la légitimité, de l’initiative et de la clarté.
Le dossier du Sahara se clôt car l’ONU, après cinquante ans de tergiversations, est revenue au point zéro… tandis que le Maroc, soutenu par l’histoire, a surpassé tous les jalons.

Le temps de la marchandisation du conflit est révolu.
Celui qui mise encore sur le dossier de Tindouf, ferait bien de relire attentivement les lignes du dernier rapport onusien :
Votre retrait n’est pas une mesure d’austérité… mais un retard à reconnaître la victoire du Maroc.

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