Une fois de plus, les explosions à Smara révèlent le visage hideux d’un système en faillite nommé « Polisario ». Un groupe qui cherche désespérément une légitimité perdue via le terrorisme, tentant en vain de déstabiliser un État qui a prouvé, par les faits, qu’il n’est vaincu ni sur le terrain ni dans les instances internationales. La dernière attaque n’est rien d’autre qu’un cri de désespoir d’un organisation qui s’effondre, et un nouveau scandale pour ceux qui la financent, nourrissent et exploitent les âmes innocentes à des fins politiques malsaines.
Cette agression est survenue quelques semaines après une escalade algérienne directe contre les intérêts du Maroc dans les instances internationales. Elle a été déclenchée après que la campagne d’ouverture de consulats ait atteint le cœur des provinces du Sud. Elle a également eu lieu alors que des voix au sein du Congrès américain commençaient à demander à classer le Front comme organisation terroriste. Le message est clair : l’adversaire est perdu, les frappes marocaines sont douloureuses et les gains continuent de s’accumuler.
Cibler une ville comme Smara n’est pas une coïncidence. Cette ville, symbole de l’identité du Sahara marocain et témoin d’une résistance farouche contre le colonialisme, est devenue aujourd’hui un emblème du Maroc de développement, d’investissement et d’ouverture. Le Polisario sait qu’il perd du terrain, du soutien populaire et même de la sympathie internationale. Ceux qui perdent tout n’ont d’autre choix que d’agir en tant que bande.
Les séparatistes, ainsi que les généraux algériens qui les soutiennent, n’ont plus que des obus et des communiqués. Pas de projet, pas d’avenir, pas de cause. Pendant ce temps, le Maroc avance dans la construction. Le port atlantique, le gazoduc, les énergies renouvelables, des investissements en provenance d’Afrique, du Golfe et d’Amérique… En revanche, Tindouf se noie dans la famine, la répression et la stagnation.
Le monde commence à changer de ton. Le soutien au projet séparatiste s’effrite. La crédibilité s’étiole. Même en Algérie, la rue gronde face au détournement de milliards vers un groupe qui ne sait que mettre le feu.
La question aujourd’hui n’est plus une question de frontières, mais de sécurité et de stabilité régionales. Celui qui bombarde une ville marocaine en 2025 ne peut être qualifié que de terroriste. Et celui qui justifie ou ignore cette agression se place dans la même catégorie. Le silence de certaines organisations de droits humains est une honte. La complicité avec la violence ne légitimera pas le front, mais l’accusera davantage.
Le message pour l’intérieur et l’extérieur : le Maroc ne se laisse pas intimider, ne se fait pas infiltrer et ne sera pas vaincu. Toute tentative de déstabilisation de sa sécurité sera accueillie avec fermeté. De Tanger à Lagouira, le peuple est uni, l’armée est prête et les services de sécurité sont en alerte. Le Sahara n’est pas une carte de négociation, mais une partie intégrante de la patrie, un destin sans retour.