Quand on observe le nombre de nationalités et de religions qui composent les États-Unis, que ce soit dans ses villes ou ses villages, il nous faut reconnaître, sinon admettre, que les « Américains » ont un rôle considérable dans le monde. Chacun d’entre eux participe activement à la dynamique économique du pays de Donald Trump et de ses prédécesseurs.
La Coupe du Monde des clubs qui s’est tenue dans le pays de l’Oncle Sam, couverte par « Express TV » et des dizaines de journalistes marocains pour relater la participation de l’équipe du Wydad de Casablanca, a mis en lumière la richesse de la « culture américaine ». Celle-ci est alimentée jour et nuit par une pluralité de nationalités, de croyances et de cultures, le tout sous un même toit portant le slogan « liberté », qui ne fait pas de distinction entre Arabes et non-Arabes, si ce n’est par le travail et la droiture. Malgré les critiques que les États-Unis reçoivent pour leur politique extérieure, la réalité à l’intérieur leur procure le soutien de leurs citoyens originels, notamment des immigrants, qui ont établi leur foyer ici et élèvent désormais leurs familles, affirmant : « C’est ici notre patrie », tout en gardant une nostalgie pour leurs racines et la terre de leurs ancêtres.
Le groupe de journalistes marocains qui a couvert la participation du Wydad de Casablanca rentrera au pays à la fin de la semaine, emportant avec eux de nombreux souvenirs. Il en est de même pour le public rouge qui a voyagé depuis les quatre coins du monde pour soutenir leur club. Bien que les trois défaites aient été dures à encaisser et que l’élimination ait laissé un goût amer, tout le monde conserve des images et des souvenirs gravés dans leurs mémoires, qu’ils raconteront aux générations futures sur un Mondial pas comme les autres, et un pays pas comme les autres.