Le courant d’air major : chef de la honte capitaine du vide

Le courant d’air major : chef de la honte capitaine du vide

- in accueil, Saïd Bou-Ayach
said-bouayach

Par Saïd Bou-Ayach

1 – Cela fait des semaines que les clowns de la zriba nous rejouent leur comédie, à croire qu’ils se sont abonnés à la répétition générale du ridicule. Fou rire garanti, et franchement, en plein cagnard d’été, c’est cadeau. Voilà que notre courant d’air major Hijaouy s’apprête à « balancer des secrets explosifs ». L’énième remix de « Je vais tout révéler »… spoiler alert : il ne révèle que son ego.

2 – En panne d’idées et de crédibilité, le guignol exilé au Canada et son complice en Espagne (version discount du tandem Laurel et Hardy) se lancent dans leur rituel favori : le perroquetage de fadaises. Et ça jacasse, et ça radote ! Ma « Ayacha Community », elle, ne mange pas de ce pain-là. Elle sait que tout ce qui sort de leurs égouts verbaux, c’est du 100 % pur jus de balivernes.

3 – Bon, rendons-leur un mérite : à force de bobards et de diffamations, ils m’ont sorti de ma retraite zen. Alors, allons-y franco. Le courant d’air major , ou devrais-je dire l’escroc major (un seul coup d’œil à sa tête et tu comprends qu’on est sur du mytho premium), nous sort son plus beau storytelling : il aurait été numéro 2 de la DGED… et moi, je suis le roi d’Angleterre. Franchement, avaler une couleuvre de la taille d’un anaconda, faut avoir la gorge large.

4 – Mehdi Hijaouy n’a pas déçu les Marocains. Non, non. Il les a carrément laissés indifférents. Zéro émotion. Le mec ne représente que lui-même… et encore, même ça, c’est fragile. Mais là où il a vraiment brillé, c’est en décevant magistralement ses propres enfants. Ses deux fils, Yazid et Abdellah, qui vivaient peinards à Paris, ont disparu plus vite qu’un influenceur pris la main dans le sac.

5 – Et pour cause : ces deux-là, je les ai connus dans une autre vie. De vrais patriotes, du genre à réciter Allah, Al Watan, Al Malik avant même de dire bonjour. Leur père ? Ils le vivent comme une trahison nationale et personnelle. Résultat : silence radio. Plus un post, plus une story, plus un like. La patate, ils l’ont bien grosse. Et franchement ? Je compatis grave.

6 – Abdellah, lui, après Paris, avait migré en Suisse puis à Dubaï. Aujourd’hui, c’est black-out total. Depuis la déchéance paternelle, il broie du noir et refuse tout contact. Bravo Mehdi, t’as réussi à ruiner l’estime que tes propres enfants avaient pour toi. C’est pas donné à tout le monde, ce genre d’exploit.

7 – Le pauvre Abdellah s’est reconverti en super-héros des animaux abandonnés. Il sauve les bêtes, pendant que son père noie l’honneur familial. L’un soigne les plaies, l’autre les creuse. Abdellah, au moins, s’engage pour le vivant. Contrairement à son 3atay de daron, il a compris que l’honneur, ça se construit.

8 – Le fils tente de racheter, à sa manière, ce que le père a traîné dans la boue. T’imagines le tableau ? T’as réussi à faire honte à ta propre descendance, et ça, c’est du génie noir. Chapeau bas, Mehdi, fallait oser. T’as torché l’amour filial plus vite qu’un kebab après une soirée arrosée. BRAVO !

9 – En fin de compte, les touabrias ont ce super pouvoir : ils foutent la honte à leurs propres familles. Ils sont comme une tache de sauce sur une chemise blanche. À la fois voyants et indélébiles. Ce qui prouve, une fois encore, que la gêne, chez eux, n’est pas un accident, c’est une vocation. Entre honte, valeurs inversées et troubles non traités, on touche au chef-d’œuvre de l’absurde ou devrais-je dire de la folie!

Loading

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

You may also like

Akhchich appelle à la généralisation du réseau de télécommunications et annonce le lancement de la 5G au Maroc.

Le vendredi 25 juillet 2025, à Rabat, le