Une parlementaire péruvienne considère le Maroc comme un modèle de stabilité et de leadership stratégique
La députée péruvienne, Rosangela Barba, a loué le Royaume du Maroc, le qualifiant de référence en matière de stabilité, de vision stratégique et de leadership constructif. Elle a affirmé que le Maroc n’est plus seulement un partenaire fiable, mais également un modèle à suivre dans son environnement régional et international.
La parlementaire a exprimé son admiration pour la diplomatie marocaine, qu’elle a décrite comme moderne, efficace et humaine, notant qu’elle a réussi à renforcer l’image du Maroc en tant que puissance stabilisatrice dans un monde en mutation.
Barba a également mis en lumière les transformations structurelles que connaît le Maroc, soulignant que sa politique continue d’investir dans les infrastructures en fait un acteur régional de premier plan. À cet égard, elle a mentionné sa visite au port de Tanger Med, qu’elle a décrit comme une plateforme logistique de classe mondiale reflétant l’ambition du Maroc dans le domaine maritime et commercial. Elle a également salué le projet de train à grande vitesse « Al Boraq », qu’elle considère comme un exemple d’innovation et d’efficacité dans la réalisation.
La parlementaire a attiré l’attention sur le projet du port de Dakhla Atlantique, visant à faire de la ville un pôle maritime stratégique pour renforcer l’intégration sur les marchés africains et latino-américains, affirmant que ce projet illustre la vision royale de positionner le Maroc comme un pont entre les continents. Elle a également mentionné le réseau de transport avancé que le Maroc possède, en termes de routes et d’aéroports, faisant de lui un important hub aérien régional.
Barba a confirmé que le Maroc s’est imposé diplomatiquement en tant qu’acteur respecté sur le continent africain et dans le monde arabe, grâce à son approche basée sur le dialogue et l’ouverture, tout en maintenant les principes de la souveraineté nationale, notamment en ce qui concerne la question du Sahara marocain.
Elle a rappelé que le plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007 a bénéficié du soutien de plus de 120 pays, y compris de grandes puissances telles que les États-Unis, l’Espagne, la France et le Royaume-Uni.
La parlementaire a aussi évoqué les efforts du Maroc pour renforcer ses relations avec l’Amérique latine, soulignant son adhésion en tant que membre observateur au Groupe des pays andins et sa participation à des organisations régionales telles que le Parlement latino-américain et des Caraïbes, l’Organisation des États américains et l’Alliance du Pacifique, ce qui reflète le souhait du Maroc de construire des partenariats stratégiques avec la région.
Elle a conclu son intervention en saluant les avancées réalisées par le Maroc dans le domaine de l’autonomisation des femmes, affirmant que les politiques en place contribuent à bâtir une société inclusive où le leadership féminin est un vecteur d’égalité et un moteur de cohésion sociale et de progrès global au sein du Royaume.