Saïd Bou Ayach/
1-C’est officiel ! Selon nos voisins de l’Est, la Terre ne tourne pas autour du Soleil… mais autour du Maroc ! Rien que ça. Et franchement, on le savait tous, c’est le secret de Polichinelle le plus mal gardé de l’histoire. Dernier chef-d’œuvre en date du régime des caporaux ? Un rouleau de papier-toilette déguisé en « article » pondu sur un média douteux, dégoulinant de haine et de jalousie envers le Royaume au CV long comme le bras : 12 siècles de civilisation, stabilité et crédibilité au menu. Bref, un combo trop épicé pour leurs estomacs fragiles.
2-Sur cette plateforme algérienne en perdition, c’est open-bar pour la Zaouïa des idiots. Et là, ma Ayacha-community me lance, perplexe : « Dis, c’est pas toujours les mêmes ? » Eh ben si ! Toujours les mêmes têtes, même casting, même nullité. Ils n’ont que deux armes : la calomnie et le cirque. Résultat : ce torchon confirme que nos abrutis de service entretiennent des liaisons dangereuses avec le régime militaire voisin. Entre le courant d’air Hijaouy, Kheriando le maudit de sa mère et escroc 3.0, Mejdoubi le télégraphe de Londres et Alilou Lemlawet, clown suprême et bo9 en chef de la zaouïa… On nage dans le grotesque.
3-Ce PQ version storytelling nous sert encore du ragoût de la veille signé Mehdi Hijaouy : services secrets, conflit de palais, bla bla bla… Du réchauffé, du prémâché, du vomi recyclé. Alilou s’est même empressé de reprendre ce torchon, preuve s’il en fallait encore une, que ces deux énergumènes mangent dans la même gamelle servie par le voisin de l’Est. Conseil gratuit Alilou : prends tes cachets, mon grand, ça urge.
4-Et voilà qu’ils ressortent la carte Driss Basri, l’épouvantail à moineaux de la zaouïa des idiots. Ils brandissent son nom comme s’ils allaient invoquer un démon. Mais faut se mettre à la page les zouaves ! Les années de plomb, c’est fini, rangées au placard. Le Maroc version 2025, c’est ouverture, démocratie et liberté d’expression, applaudies par toutes les grandes chancelleries du monde. Pendant que vous tournez en rond dans votre hamster-wheel de paranoïa, nous avançons.
5-Dans la galaxie des touabrias, le modus operandi est enfantin : mentir, surjouer, baver, recommencer. Exemple ? Un photographe en roue libre, AKA le Hijaouy marocain tire sur le bouchon comme s’il voulait faire sauter le bouchon du mensonge ultime. Le gars, tout comme Hijaouy, affirme être en contact direct avec les hauts responsables du Royaume. Oui oui, carrément ! Et il prévient même qu’un grand événement approche… On dirait Nostradamus sous acide. Son slogan de campagne ? « Plus c’est énorme, plus ça passe. »
6-Le mec, digne membre de la zaouïa des illuminés, démarche des journalistes et youtubeurs pour leur vendre du rêve : « Tu veux une place dans le futur règne ? Prête allégeance ! » Mais à qui ? Au grand escroc cosmique ? Depuis 789, les Marocains prêtent serment à leur Souverain. Voilà donc une manœuvre supplémentaire pour perpétuer le mensonge et le storytelling merdique et fallacieux autour d’une prétendue crise du Palais…
7-Cerise sur le gâteau : notre photographe visionnaire jurait aux funérailles d’un confrère qu’il négociait avec des youtubeurs de l’étranger … Mission confiée (attention, roulement de tambours à l’approche) par de mystérieux hauts responsables… Bien sûr, comme dans tout bon film de science-fiction à 2 dirhams.
8-Et la presse marocaine pendant ce temps-là ? Silence radio ! Et nous, la Ayacha-community, on est là à se demander : mais bon sang, quand est-ce qu’on descend les arguments en mousse de ces rigolos qui croient semer la discorde alors qu’ils ne sèment rien de plus que le ridicule sur leur passage ?!
9-Et que dire de ce photographe ? Déjà condamné à quelques années de prison (non, ce n’est pas une blague, je reviendrai sur les détails), le photographe a une double face, une gueule bouffie, et une faim d’ogre. Le gros lard bouffe à tous les râteliers comme un rat affamé sorti d’un bunker post-apocalyptique. En résumé : un vrai ragondin du clic.
10-Une petite pensée (moqueuse) pour Mejdoubi, alias le télégraphe de Londres, dont le passe-temps favori est de passer des coups de fil aux autres rigolos pour leur souffler des infos exclusives… Infos venues tout droit de sa cervelle de bulot. Il prétend même être le conseiller secret du Prince Rouge. Sérieusement les gars, on fait un film ? L’ignare, par sa bêtise et son absurdité, prouve que tout ce qui sort de la bouche d’égout de la malheureuse zaouïa des idiots, eh baaah c’est baliverne sur baliverne !
11-Et tiens, parlons de Kheriando et sa vidéo désormais disparue… Dans laquelle il affirmait avoir rencontré Fouad Ali El Himma à Madrid… ou son sosie (le mec n’est même pas sûr). On touche là un sommet de l’absurde.
12-Le plus cocasse ? Dans cette vidéo, on dirait vraiment que Kheriando a compris qu’il s’était fait rouler dans la farine par Hijaouy. Il balance des piques, l’air perdu, genre « Pourquoi tu m’as fait ça, frérot ? » On frôle la tragédie grecque version TikTok.
13-C’est limpide : quelque chose a cassé entre Kheriando et son gourou post-prison. Deux épisodes supprimés plus tard, la rupture est consommée. Alors écoute-moi bien, mon petit messkhout mo : raccroche ton costume d’activiste de pacotille et laisse tomber ce théâtre de marionnettes où tu n’es même pas la ficelle. Ce jeu-là, c’est une ligue au-dessus de ta catégorie. Hijaouy t’a enrôlé comme un kleenex : utilisé, froissé, et prêt à être balancé à la moindre occasion.
14-Et toi, entre trois crises d’égo et deux vidéos supprimées, t’as enfin capté l’arnaque malgré ton cerveau taille Kinder Surprise. Félicitations ! Mais maintenant, fais-toi une fleur : retourne à ton poste de serveur dans ton boui-boui préféré, là où au moins tu fais quelque chose de concret. Parce que dans ce film de série Z qu’on appelle la Zaouia des idiots, t’es pas un héros, t’es même pas un figurant. Juste un pigeon avec une connexion Wi-Fi.
15 – Allez, finie la récré, rideau sur l’entracte !Entre Kheriando et le Courant d’Air Major, c’est désormais la guerre ouverte ! Oui, une vraie… à l’échelle de leur minuscule ego et de leur immense incompétence. Le torchon brûle ? Disons plutôt qu’il s’auto-incendie à force de frictions entre deux cervelles de moineaux aussi inflammables qu’une nappe d’huile sur le feu. Eh oui, dans la prestigieuse zaouïa des abrutis diplômés, pas de débat d’idées… Non, non ! C’est une kermesse de l’absurde. Eh ben oui, cette confrérie ne rime qu’avec trahisons et divisions. Trahisons et divisions élevées, d’ailleurs, au rang d’art ! Un art tellement prisé dans la zaouïa des idiots que ces bassesses sont monnaie courante entre adeptes. Le plus savoureux ? C’est que le cirque ne fait que commencer. Attendez-vous à une pluie de récits ridicules, de ragots frelatés et de racontars plus grotesques les uns que les autres… Bref, business as usual chez les touabrias. Clap de fin pour aujourd’hui… Et Game Over pour le photographe du dimanche, qui joue pleinement le rôle du Hijaouy du Maroc !
Allez zou, rideau !
