La CGEM mène une mission économique au Mexique pour renforcer les partenariats et explorer de nouvelles opportunités d’investissement.

La CGEM mène une mission économique au Mexique pour renforcer les partenariats et explorer de nouvelles opportunités d’investissement.

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La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) se rend au Mexique du 22 au 25 septembre en mission économique dirigée par son président, Chakib Alj. L’objectif de cette visite est de renforcer les relations bilatérales et d’explorer de nouvelles opportunités d’investissement et de partenariat.

Organisée en coordination avec l’ambassade du Maroc à Mexico, cette visite s’inscrit dans une stratégie de diversification des marchés et d’ouverture croissante vers l’Amérique latine. Le programme prévoit des rencontres institutionnelles avec la Confédération mexicaine des chambres de commerce (CONCAMIN), le Conseil coordonnateur des employeurs (CCE) et plusieurs membres du gouvernement mexicain, en plus de réunions d’affaires directes et de visites sur le terrain dans les pôles industriels de Puebla et de Guadalajara afin d’explorer les domaines de coopération possibles.

Chakib Alj a souligné que les secteurs de l’industrie, de l’agroalimentaire, du tourisme, des énergies renouvelables et de l’innovation technologique représentent des leviers communs pour construire des partenariats durables et renforcer la compétitivité des économies des deux pays. Il a également mis en avant le Maroc comme une plateforme compétitive en Afrique et un leader continental dans les secteurs de l’automobile et de l’aviation, tout en consolidant sa présence dans les domaines du textile, de la pharmacie et des industries alimentaires.

Alj a insisté sur la stabilité du Royaume et ses infrastructures développées, notamment le port de Tanger Med, ainsi que sur ses atouts humains et les récentes réformes telles que la nouvelle charte d’investissement et le Fonds Mohammed VI pour l’investissement, qui font du Maroc une destination attrayante pour les capitaux étrangers.

Il a conclu en affirmant que le Maroc est en mesure de servir de porte d’entrée essentielle pour les investisseurs mexicains vers l’Afrique, tandis que le Mexique peut offrir aux hommes d’affaires marocains un accès large au marché latino-américain.

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