Observateurs : Nasser Zafzafi frappe le régime des « Kabyles »
Les récentes déclarations de Nasser Zafzafi, leader du mouvement connu sous le nom de « Hirak du Rif », ont porté un coup dur au régime algérien et à ses médias, qui se sont acharnés pendant des années à promouvoir une thèse fallacieuse sur la « sécession du Rif » du Maroc. Zafzafi, lors d’un moment émouvant durant les funérailles de son père, a déclaré clairement que pour lui, la patrie n’est pas seulement le Rif, mais chaque pouce du Maroc.
Cette prise de position explicite met à mal l’un des éléments que la machine de propagande algérienne exploitait dans sa lutte désespérée contre l’unité territoriale marocaine. Le régime en place à Alger, qui souffre d’une légitimité interne en déclin et d’une crise économique et sociale aiguë, a trouvé préférable de projeter ses difficultés à l’extérieur en créant une animosité ouverte avec le Maroc et en cherchant à raviver des problématiques internes qui ne convainquent même plus leurs partisans.
Des droits de l’homme et des observateurs ont confirmé que les mots de Zafzafi délivrent des messages clairs, non seulement aux Marocains, mais surtout au régime algérien : le Rif est marocain, et les Marocains, peu importe leurs divergences d’opinion, se rassemblent autour des fondements de la nation. Cela pulvérise la propagande des « Kabyles », qui n’a réussi qu’à approfondir son isolement diplomatique et à embarrasser ses rares alliés.
Des observateurs estiment que la chute de l’argument de « Rif » pour l’Algérie, suite à l’effondrement préalable de la thèse du « Polisario » dans plusieurs forums internationaux, reflète l’échec complet du régime algérien, qui continue de vivre dans la mythologie d’un « Maroc ennemi » pour masquer son incapacité à répondre aux demandes de son peuple.
Zafzafi n’a donc pas seulement adressé ses mots aux Marocains, mais a également porté, sans le savoir, un coup douloureux à la propagande des « Kabyles » qui essaie depuis des décennies de fonder son projet politique sur une animosité fabriquée avec le Royaume du Maroc. Cependant, la réalité s’impose : le Maroc est uni, de Tanger à Lagouira, tandis que le régime algérien est enlisée dans ses crises internes, cherchant désespérément un ennemi externe pour justifier son échec continu.