Deux membres de la Garde nationale américaine tués dans une fusillade près de la Maison Blanche

Deux membres de la Garde nationale américaine tués dans une fusillade près de la Maison Blanche

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البيت الأبيض

Deux membres de la Garde nationale américaine ont été tués mercredi après avoir été victimes de tirs à Washington D.C., dans des circonstances qui restent à clarifier. C’est ce qu’a annoncé le gouverneur de Virginie-Occidentale, d’où sont originaires les victimes. La Maison Blanche a qualifié cet incident de « tragique ».

Le gouverneur Patrick Morrisey a écrit sur X :

« Avec une profonde tristesse, nous confirmons que les membres de la Garde nationale de Virginie-Occidentale, qui ont été abattus à Washington D.C., sont décédés des suites de leurs blessures. »

Auparavant, la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristjen Nielsen, avait rapporté que les deux soldats avaient été blessés, appelant les citoyens à prier pour eux. La police de la capitale a indiqué qu’un suspect avait été arrêté, tandis que des hélicoptères survolaient la zone, marquée par un important dispositif de sécurité.

Avant d’annoncer le décès des soldats, le président américain Donald Trump avait déclaré que leur état était « critique », ajoutant sur la plateforme Truth Social que « l’individu qui a tiré sur eux… paiera un prix très élevé ».

La police de Washington a également signalé que trois personnes avaient été blessées par les tirs et avaient reçu les premiers secours. De son côté, la porte-parole de la Maison Blanche, Caroline Levitt, a indiqué que l’administration était informée de cette situation tragique et la suivait de près.

La Garde nationale est déployée à Washington sur ordre du président Trump depuis août dernier, et le nombre de ses membres s’élevait à 2 175 mi-novembre, malgré les objections des autorités de la ville qui accusent l’administration fédérale de dépasser ses prérogatives. Ces renforts s’inscrivent dans le cadre de la politique du président visant à « lutter contre la criminalité et à soutenir la police des migrations », selon ses déclarations précédentes.

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