La direction provinciale du ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement préscolaire et des sports à Kénitra a catégoriquement démenti les informations diffusées par plusieurs médias et certaines plateformes de réseaux sociaux concernant un lien présumé entre l’institution et le suicide d’une professeure stagiaire à Taza, qui aurait été chargée de surveiller les examens du baccalauréat à Kénitra.
Dans un communiqué reçu par « Express TV », la direction a exprimé sa vive préoccupation face à la propagation de ces données jugées inexactes, associées à ses établissements et missions sans fondement réel. Elle a souligné qu’« aucune professeure stagiaire n’a été chargée de la surveillance des examens du baccalauréat au sein de la direction, contrairement à ce qui a été rapporté dans les articles relayés ». La direction a ajouté que « le centre d’examen au lycée qualifiant Al-Qods, relevant de la direction, n’a vu la commission d’aucune étudiante pour surveiller ou dans le cadre du personnel de réserve ».
La direction a réaffirmé son engagement total à respecter les lois et procédures en vigueur concernant l’organisation des examens menant à l’obtention du baccalauréat, précisant qu’elle avait désigné les surveillants parmi les cadres éducatifs travaillant au sein de l’académie régionale d’éducation et de formation de Rabat-Salé-Kénitra, tout en incluant 20 % d’enseignants de réserve pour assurer le bon déroulement des examens.
Le communiqué a également souligné que toutes les charges individuelles relatives à la surveillance et aux tâches de rédaction et de supervision avaient été élaborées par la direction provinciale et envoyées aux centres d’examen concernés, accompagnées de badges d’identification spécifiques à chaque cadre, garantissant la transparence et la clarté du processus organisationnel.