Le Festival National du Film à Tanger revient pour sa 25e édition avec une programmation riche et variée.

Le Festival National du Film à Tanger revient pour sa 25e édition avec une programmation riche et variée.

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مهرجان طنجة للفيلم

Le Festival national du film de Tanger revient pour sa vingt-cinquième édition avec une programmation riche et variée.

Les festivités se dérouleront à Tanger, du 17 au 25 octobre 2025, sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Cet événement se positionne comme un rendez-vous incontournable dans le paysage cinématographique national, avec la projection d’une sélection de films dans le cadre des compétitions officielles et de la panorama.

Le Centre cinématographique marocain a annoncé dans un communiqué que des comités de sélection indépendants, composés de professionnels du secteur cinématographique et culturel, ont soigneusement étudié les films soumis et ont retenu trois catégories principales pour la compétition officielle : les longs métrages de fiction, les courts métrages de fiction et documentaires, ainsi que les longs métrages documentaires.

Dans la catégorie des longs métrages de fiction, 15 films ont été sélectionnés, parmi lesquels : « Africa Blanca » d’Aziz El Alaoui, « Automan » d’Anwar Al-Mu’atasim, « Outisto » de Jérôme Cohen-Olivar, « Fragments » de Janane Fattane et Abdelilah Zirate, « In Love with Toda » de Nabil Ayouch, « Mon cher petit » de Karima Knonni, « La guerre des six mois » de Jalil Frhaty, « La mer lointaine » de Said Hamish Belarbi, « La mer bleue » de Daoud Ouled Sid, « Les recommandations » de Sana Akrid, « Amour à Dakhla » de Khaled Brahimi, « Mouvita » de Laouina Madan, « Radia » de Khawla Asbab Ben Omar, « La terre des anges » de Rachid Fakkak, et « La princesse perdue » de Hicham Hajji.

Concernant la catégorie des courts métrages de fiction et documentaires, 15 films ont également été retenus, parmi lesquels : « Aicha » de Sana Alaoui, « Boujloud » de Ghita Bouasfiha, « Chikha » d’Ayoub Youssefi et Zohra Raji, « Oiseaux Rampants » de Karim Tajaouit, « L’Évasion 1944 » de Said Hasbi, « Dissonance » de Rachid Zaki, « Dis-moi vers la lune » de Zakariya Nouri, « Frère de sang » de Mohcine Nadfi, « La mine » de Randa Maâroufi, « Miroir à vendre » de Hicham Amal, « Nouvelle vie » d’Ayoub Ait Behi, « Route de sécurité » de Nawal Ajuira, « Maison des cimes » de Mohamed Kara, « Proche et t’éloigner » de Leila Al-Masfar, et « Jardins du paradis » de Sonia Turaab.

Pour la compétition des longs métrages documentaires, la liste comprend des œuvres remarquables telles que : « Amrze » de Hicham Ibrahim, « Amazon » de Salma Loukhmi et Rachida Saidi, « Amanat Aïchata… Une voix émotive qui s’échappe du cœur de Oued Noun » d’Omar Miara, « Amanakri Al-Baydane » d’Ali Walid Bouhours, « L’Exil » de Sidi Mohammed Fadil Al-Jmani, « Femmes de la fatigue » de Moulay Khalid Al-Boumehri, « Fiers, suspendus et un peu rebelles » de Mohamed Akram Nemassi, « Je ne t’oublierai pas » de Mohammed Reda Kaznai, « La Costa » de Dounia Nayef, « Le flamant rose », « Appel du désert » de Hassan Khar, « Mille jours et un jour » de Haj Eddmound Simon Beton, « Attente enchaînée » de Loubna Al-Younsi, « Rêves de Wad Noun » d’Abdelkader Atouif, et « Souilem » de Sidi Saleh Al-Boudnani.

Cette édition accueillera également des projections dans le cadre de la section « panorama », offrant ainsi au public la possibilité de découvrir des œuvres de fiction et documentaires, longs et courts. Parmi ces films, on trouve : « Mon quotidien » de Lutf Aït Jaoui, « Algues amères » d’Idris Chouika, « Hanada et Karimo » de Hicham Jabari, « Héros » d’Omar Lotfi, « Le mahi » d’Abdallah Serdaoui, « Le jeu de la vie » de Lahsen Boujdour, et « La tente » d’Ahmed Bouchlak. Des courts-métrages tels que « Vague des eaux » de Hiba Chaari, « Rose » de Hassan Zahi, « Sofia » d’Ayoub Bouddadi, « Au-delà des vagues » d’Amina Farhati, « Printemps » de Zakariya Kharat, et « Bougie » d’Ismaïl Ait Hassan, seront également projetés.

Cette programmation riche reflète la volonté du festival de mettre en avant la diversité de la production cinématographique marocaine et de soutenir les créateurs de différentes générations, tout en renforçant la position de Tanger en tant qu’espace de célébration du septième art.

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