Le pape Léon XIV a visité le Liban, le deuxième jour de son voyage, en portant un message d’unité entre les Libanais de toutes les confessions et d’espoir pour les jeunes dont la foi en leur pays s’est effritée en raison des crises successives.
Il est arrivé à Beyrouth en provenance d’Istanbul, lors de son premier déplacement international depuis son élection en mai, soulignant son souhait d’être un «messager de paix» pour une région déchirée par des divisions et des conflits.
Des milliers de Libanais ont accueilli son cortège le long de l’itinéraire menant au sanctuaire de Saint Charbel, dans le village montagnard de Annaya. Les chants ont résonné sous une pluie battante, et les fidèles ont brandi les drapeaux du Liban et du Vatican pour exprimer leur joie face à cette visite historique, marquant la première pour un chef de l’Église catholique en ce lieu.
Lors de ses discours, le pape a insisté sur l’importance de protéger la diversité religieuse et de travailler à la réconciliation nationale, appelant les Libanais à se rassembler.





