La Commission européenne a dévoilé un bilan consacré à la désinformation durant la crise sanitaire qui touche le monde entier depuis le début de l’année. La Chine figure parmi les principaux accusés, pour la première fois.
Des « preuves » contre la Chine
La Chine est mise en cause noir sur blanc et à ce niveau-là pour la première fois, alors que la Russie a déjà été accusée par l’Europe de propager des « fake news ».
Dans le détail, l’Europe reproche notamment à ces deux méga-puissances – dont la Chine – de faire circuler « des canulars dangereux » et des « informations médicales trompeuses avec de fausses allégations » sur le coronavirus. Et de citer, par exemple, des affirmations comme « cela ne sert à rien de se laver les mains » ou « le coronavirus n’est dangereux que pour les personnes âgées ».