La liberté de conscience est mère de toutes les libertés.
Aucune émancipation du citoyen n’est envisageable sans adoption de la liberté de conscience. Elle est la liberté par excellence du citoyen engagé et responsable au sein de la cité. Sa dimension n’est pas que politique, elle est d’abord sociale, dans la mesure ou elle éduque les individus au respect de leurs différences, de leur diversité et de leur droit égal à la participation à la parole publique.
Je dis juste que l’homme est autant un animal politique que social, en faire un citoyen responsable c’est respecter ses choix et les faire respecter. Seule cette voie pourrait représenter les soubassements à même de porter l’édifice d’une société égalitaire où le citoyen est riche de sa dignité.
Il est encore temps de penser le modèle de développement et commencer là ou notre société a vraiment mal.