Si en politique il y a de la place pour la diversité et qu’aucune formation ni expérience n’est requise pour y accéder, la capacité du politicien à être un homme d’Etat est de mise, en particulier en temps de crise.
A un an de 2021, la question légitime que tout citoyen se pose aujourd’hui: Est-il préférable que le pays soit dirigé par des médecins, des juristes, ou par des technocrates?
Ils sont tous là…Mais qui fera le bonheur de ce pays?
Le caractère compte, la qualification aussi mais bien au-delà des questions de compétences, de formation et de CV, le bon sens, le sérieux et la dignité sont importants. Un politicien devrait être en mesure de représenter le Maroc, de parler aux marocains. Un homme politique doit avoir le charisme et la présence d’un homme ou d’une femme d’État.
Et cela se travaille quand on croit au développement et au pouvoir magique de la formation. bref, toutes les qualités peuvent être améliorées par un travail continu et de la concertation.
Mais, il y a un seul pré-requis que le dirigeant politique doit porter comme idéologie et non en diplôme, c’est sa capacité à dépasser ses intérêts personnels et celles de son parti pour servir le bien national.
Et cela ne s’apprend pas. On y croit ou on n’y croit pas!
Nour-eddine Saoudi
Désolé, tout peut s’apprendre, avec la bonne volonté, la persévérance et le sens de l’humilité. Seulement, le GROS PROBLEME de nos partis politique: la formation multidisciplinaire (idéologique, politique,civique, déontologique…) des adhérents est le dernier de leurs soucis.