Plusieurs sites d’information en Amérique Latine s’étonnent de voir que le gouvernement espagnol accueille sur son territoire « un fugitif de la justice espagnole (le dénommé Brahim Ghali), responsable du meurtre et de la torture de citoyens espagnols ».
Ainsi, l’agence de presse « Alternative presse Agency » écrit que le gouvernement du socialiste Pedro Sánchez a « mis de côté les lois espagnoles » en accueillant sur son territoire le dénommé Brahim Ghali, porteur d’un faux passeport avec le nom de « Mohamed Benbatouch ».
La même source rappelle que même si le gouvernement socialiste a invoqué « des raisons strictement humanitaires » pour se justifier, le dénommé Ghali est accusé par l’Audience Nationale espagnole (plus haute juridiction en Espagne) « de crimes de génocide, meurtre, torture et disparitions forcées contre des sahraouis de nationalité espagnole détenus dans les camps algériens de Tindouf ».
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