La vengeance le ronge, tous les moyens sont bons pour déverser sa haine…et il n’est pas le seul. Un panel de noms portent le même discours.
Le rappel d’un pourquoi inévitable, qui mène à un comment.
Cet intello qui a raté l’occasion de mieux servir sa patrie est pourtant diplômé de l’ISCAE à Casablanca, avant l’université d’Oxford et celle de Harvard. Des études qu’il n’aurait pu se permettre si son pays ne lui avait pas offert les conditions pour.
N’est-il pas ,lui même, celui qui a fondé le « journal » en 1997, un hebdomadaire critique frôlant l’insolence à l’égard de la monarchie?
N’a t-il pas exercé en toute liberté cette critique et cette liberté d’expression il y a quelques années déjà, au Maroc?
N’est-ce pas son journal qui a publié un article diffamatoire accusant une institution, en l’occurrence, le ministère des affaires étrangères de l’époque 2000?
Les intentions les plus obscures de aboubakr Jamai n’ont pas eu de limites et il a longtemps continué à se lancer dans des mésaventures périlleuses en publiant des articles diffamatoires et sans fondement.
Jusqu’en 2006, où la justice a dû trancher entre la rédaction du « journal » et l’ESISC (European Strategic Intelligence and Security Center) pour une publication d’un autre article diffamatoire ou le présumé Journal accusait l’Ėtat d’avoir dirigé le rapport du centre à l’encontre du « Polisario », sachant que s’attaquer à l’unité territoriale du Maroc est qualifiée de trahison par la justice marocaine.
Pourtant, la justice marocaine a condamné le rédacteur en chef du « journal », signataire dudit article à une simple amande.
lourde ou pas, aucune condamnation d’emprisonnement n’a été prononcée!
Cette indulgence est donc comptée en faveur des instances juridiques nationales, elles mêmes accusées par Aboubakr de complotisme contre lui…
Il a fini par quitter le pays, vers le midi de la France. Faute de rejoindre l’Espagne ou les USA qu’il convoitait comme terre d’exil, selon ses propres déclarations à la presse.
Mais cela n’a pas suffit. Notre compatriote, avec ou tout comme certains se sont saisi de l’affaire Pegasus, au même titre que les affaires des deux journalistes poursuivis pour tentative de viol et harcèlement, pour étaler leur haine sur des tribunes, qui rêvent de nous voir à l’image qu’ils nous ont dessinée .
À se demander encore et encore: que veut Aboubakr Jamai? Pourquoi cette ingratitude envers sa patrie, ce pays qui l’a pourtant fait? Quelles sont ses intentions? N’est-il pas établi que dénigrer sa patrie revient à se dénigrer?
Lui qui aurait pu avoir un tout autre chemin, lui qui aurait pu participer dignement au développement de son pays, sans que l’étiquette « traîtrise » ne lui soit définitivement attribuée.
« Allah ihdik Ala rassek Asi Aboubakr »