ExpressTV : Saïd Bou-Ayach
1-Mais c’est d’un ridicule ! Voilà que depuis quelques jours, je constate une passe d’arme (en plastoque) entre deux énergumènes : vous l’avez deviné il s’agit des lumières (qui brillent par la médiocrité et la mendicité) Alilou et Mehdaoui…
2- Et pourtant ces pauv’types devraient plutôt faire équipe puisqu’ils ont bien plus qu’un point en commun. Ben oui, tous deux sont incultes puisqu’ils ne ratent pas une occasion d’exhiber leurs maigres connaissances, et comme le dit si bien l’adage, la culture c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale ! Sur ce volet-là reconnaissant qu’ils sont number one !
3- Ils ont aussi la particularité de se présenter tantôt politologues, tantôt diplomates, tantôt sociologues en étant persuadés d’être journalistes d’investigation 3afakoum ! Mais laissez-moi rire…
4- Ma Ayacha-community m’a donc demandé mon avis sur ce spectacle de marionnettes entre ces deux faux-journalistes mais vrais escrocs… C’est d’ailleurs pour cette raison que je sors de mon silence, moi qui me suis retiré depuis quelques mois, car il faut bien le dire, tous ces diffamateurs qui se prétendent opposants ont un piètre niveau et sont tous vénales. Il est vrai que gaspiller de l’encre pour eux est un véritable gâchis, mais bon les laisser braire sans casser leurs arguments en papier mâché commandés n’est pas non-plus une solution.
5- En somme, Mehdaoui et Alilou sont du même acabit. Sans foi ni loi, ils pensent qu’au profit et se faire un billet par-ci par-là. Quant au journalisme, nous vivons malheureusement une époque où n’importe qui se prétend journaliste. D’ailleurs je ne peux m’empêcher de penser à nos illustres confrères qui ont passé l’arme à gauche et qui ont tellement sacrifié pour le rayonnement de notre noble métier dans notre cher Maroc.
6- Ces journaleux de pacotille, et encore j’ suis gentil, sont aux antipodes de la déontologie de notre profession. S’insultant sur Youtube et sur les réseaux sociaux, cela en dit long sur le niveau de « minableries » de ces deux nigauds et de l’idée qu’ils se font du journalisme…
7- Et pour leur gouverne, bien qu’ils naviguent sans gouvernail, Léon « Trotski » Lev Davidovitch Bronstein de son vrai nom, a toujours été fidèle à ses idéaux, c’est ce qui lui a valu d’être assassiné à Mexico en 1940… Quant à Jean-Paul Sartre, il a refusé le prix Nobel de Littérature (et le million de dollars qui va avec), parce que d’après le philosophe existentialiste, l’écrivain n’est pas une Institution ! Ach wesselkom lhad nass yal jou7al ?
8- Alors qu’ils sont plus du genre à quémander un p’tit Western Union ou même du foncier, v’là qu’ils s’érigent en défenseur, mais de qui ? Et bien d’eux-mêmes, et de leurs comptes en banque ! Ra7 koulchi 3aye9 bikoum yal mortazi9a !