Dans un Maroc en pleine mutation urbaine, où les défis écologiques s’imposent comme autant d’impératifs pour penser l’avenir, la Fondation Attijariwafa bank poursuit son engagement en faveur de la culture citoyenne en dévoilant les lauréats de la 2ᵉ édition du concours national d’arts visuels « ImagineTaVille ». Une édition placée sous le signe de l’environnement et de la résilience, où l’imaginaire artistique devient outil de questionnement, d’alerte et de transformation.
Clôturé en mai dernier, ce concours a suscité un enthousiasme exceptionnel, avec 327 candidatures émanant de toutes les régions du Royaume. Peintres, vidéastes, photographes ou plasticiens, jeunes artistes émergents ou autodidactes passionnés, ont répondu présent à cet appel à la créativité responsable, incarnant l’esprit d’une génération en quête de sens et d’impact.
Une scène artistique jeune, engagée et lucide
À travers « ImagineTaVille », la Fondation offre plus qu’un concours : elle crée un espace d’expression libre, exigeant et inclusif, où les formes artistiques deviennent porteuses de récits sur l’avenir de nos villes à l’ère du changement climatique. Le thème de cette édition, centré sur les enjeux environnementaux, a permis de faire émerger des œuvres puissantes, mêlant esthétique, conscience et engagement.
Pour départager cette richesse, un jury de haute tenue a été réuni, composé de personnalités emblématiques de la scène artistique et de la sphère RSE :
* Abla Ababou, galeriste réputée pour son œil aiguisé sur la création émergente,
* Zine El Abidine El Amine, artiste plasticien et enseignant d’arts plastiques,
* Mohamed Rachdi, critique d’art, universitaire et plasticien,
* Mehdi Guedira, responsable RSE du Groupe Attijariwafa bank.
Leur mission : désigner quatre lauréats dont le travail se distingue par la singularité du regard, la maîtrise du geste et la pertinence du propos écologique. Leurs noms seront révélés à l’occasion du vernissage de l’exposition officielle prévue à la rentrée, à l’Espace d’art Actua, à Casablanca.
De la reconnaissance à l’accompagnement : un tremplin artistique
Fidèle à sa vocation de « mécène de la culture et de catalyseur de talents », la Fondation Attijariwafa bank ne se contente pas de primer des artistes : elle les accompagne. Les lauréats bénéficieront ainsi :
* D’un prix financier, en soutien à leur démarche de création,
* D’une exposition de référence, dans un espace reconnu du paysage artistique national,
* D’un programme de mentorat, axé sur la professionnalisation, la visibilité et les passerelles avec les écosystèmes artistiques.
Cette approche holistique traduit une volonté claire : inscrire durablement les jeunes talents dans le tissu culturel marocain et les préparer à rayonner bien au-delà.
L’art au service de la ville durable
À travers ce concours, la Fondation fait le pari d’une culture active et engagée, qui ne se contente pas de refléter le réel mais l’interroge, le provoque et le transforme. « ImagineTaVille » devient ainsi un acte de citoyenneté esthétique, un manifeste de la jeunesse créative face aux grands enjeux de notre temps.
L’initiative s’inscrit pleinement dans la stratégie RSE du Groupe Attijariwafa bank, qui fait de la culture un levier central de développement durable, d’éducation et d’innovation sociale. Elle démontre qu’art et impact peuvent dialoguer, se nourrir et générer de nouvelles formes d’intelligence collective.
Une exposition pour célébrer l’espoir et l’audace
En marge des œuvres primées, douze créations « coup de cœur » ont également été retenues pour leur force expressive. Ces œuvres – installations interactives, photographies conceptuelles, courts-métrages expérimentaux – seront présentées au public dans le cadre de l’exposition finale. Celle-ci s’accompagnera de rencontres, d’ateliers et de médiations culturelles pour prolonger la réflexion et créer un dialogue fertile entre artistes, citoyens et institutions.Par cette 2ᵉ édition de « ImagineTaVille », la Fondation Attijariwafa bank affirme une fois de plus sa conviction profonde : le Maroc de demain se construit aussi dans les ateliers d’artistes, dans les regards qui dérangent, dans les gestes qui éveillent. Une ville réinventée commence par un imaginaire libéré.
