Un source sécuritaire a confirmé, hier samedi, que les enquêtes concernant les actes de violence, de désordre et d’incendie qui ont eu lieu dans certaines régions du Royaume ont été réalisées conformément à la loi et avec toute l’intégrité, niant catégoriquement les allégations selon lesquelles des abus ou des pressions auraient été exercés sur les personnes arrêtées.
Il a été précisé que toutes les procédures légales ont été suivies avec rigueur et que les suspects ont bénéficié de toutes les garanties qui leur sont dues, soulignant que les allégations diffusées par Khadija Riyadi et ses accompagnateurs « manquent de fondement réel et reposent sur des hypothèses préconçues ».
Il a également souligné que ceux qui prétendent que certains des arrêtés ont été contraints de signer « sortent du cadre de la loi et s’appuient sur des fantasmes sans rapport avec la réalité », réaffirmant que les procès-verbaux d’audition sont rédigés avec des garanties strictes incluant la signature manuscrite et l’identification, avec la possibilité de noter la mention « refus de signer » en cas de refus.
La source a également insisté sur le fait que les critiques relatives à la sévérité des peines « négligent la gravité des crimes et les circonstances d’aggravation des sanctions, tout en ignorant le principe d’individualisation de la peine et la légalité », indiquant que certains des poursuivis avaient commis des actes graves, notamment des incendies de véhicules et d’établissements publics occupés, en visant les forces de sécurité et des commerces selon des plans armés.
Il a été rapporté que 289 policiers ont été blessés de gravité variable et que 268 véhicules de sécurité ont subi des dommages matériels, dont six voitures et des motos ont été incendiées intentionnellement.
Pour conclure, il a été rappelé que toute action judiciaire nécessite une pleine connaissance des dossiers et des crimes commis, et que les allégations concernant l’arrestation de personnes ne participant pas aux événements relèvent des « rumeurs populaires », en précisant que la police judiciaire a utilisé des expertises scientifiques, techniques, biométriques et numériques pour identifier les personnes impliquées et procéder à leur arrestation conformément à la loi.






