Safi a sombré sous les pluies torrentielles du dimanche 14 décembre 2025. Environ 37 personnes ont perdu la vie. Un bilan provisoire qui témoigne de l’ampleur de la tragédie.
Le Procureur général près la Cour d’appel de Safi a ordonné une enquête immédiate par la police judiciaire. L’objectif : déterminer les causes exactes et faire la lumière sur toutes les circonstances. Toute défaillance éventuelle dans la gestion des infrastructures ou des réseaux d’assainissement sera examinée.
Les autorités locales n’ont pas attendu. Alertes précoces, équipes de secours mobilisées, campagnes de sensibilisation, réparations urgentes des infrastructures… chaque minute a compté pour sauver des vies.
Les inondations sont des catastrophes naturelles universelles. Même des villes comme Valence en Espagne ont connu des épisodes similaires. Mais la réactivité fait toute la différence.
Dans ce drame, la priorité est claire : protéger les citoyens et répondre à l’urgence humanitaire. Toute tentative d’instrumentaliser cet événement à des fins politiques ou médiatiques est infondée. La réalité est celle de l’action de l’État, ferme et immédiate, pour sauver des vies et reconstruire.
Safi se relève, mais l’urgence reste absolue. Les secours continuent, et l’État reste vigilant. La tragédie commande action, solidarité et responsabilité, rien d’autre.





