Le Polisario propage des mensonges et falsifie des manifestations dans une tentative désespérée de tromper l’opinion publique.

Le Polisario propage des mensonges et falsifie des manifestations dans une tentative désespérée de tromper l’opinion publique.

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En raison de l’augmentation des campagnes de désinformation orchestrées, des acteurs sahraouis mettent en garde contre des opérations de propagande menées par le Front Polisario. Celles-ci se manifestent par la diffusion de vidéos et de photos anciennes présentées de manière trompeuse comme des témoignages d’événements récents dans des villes marocaines, particulièrement dans les régions du Sud.

Des sources locales ont confirmé que ces contenus diffusés ne reflètent pas la réalité actuelle, mais font partie d’une campagne visant à ternir l’image du Maroc et à induire en erreur l’opinion publique internationale sur une prétendue tension interne. Parmi les vidéos faussement présentées, figure un extrait datant de 2017, enregistré à Laâyoune, qui a été travesti pour paraître comme documentant des événements contemporains, alors que l’incident d’origine concerne une querelle locale sans rapport avec des manifestations.

De plus, des images anciennes, comme celles des événements du camp d’Akdim Izik en 2010, sont intégrées dans des narrations fabriquées, à travers des mises en scène médiatiques connues sous le nom de « reportages théâtraux », pour suggérer qu’il existe de nouvelles perturbations. La machine de propagande séparatiste utilise des images archivées et des commentaires vocaux assemblés, tentant de créer un « événement virtuel » sur les plateformes de réseaux sociaux.

Le Front poursuit également la diffusion de contenu bidon en dialecte marocain afin de tromper les suiveurs, tout en activant de faux comptes nouvellement créés promouvant des allégations d' »émeutes » ou de « situation de sécurité chaotique », accompagnées d’images non pertinentes au Maroc. Des hashtags trompeurs et des plateformes fermées telles que Telegram sont également exploités pour dessiner une image déformée de la situation, comme s’il s’agissait d’un centre d’opération numérique géré de l’extérieur du pays.

Face à ces méthodes, il est crucial que les Marocains développent une conscience numérique, vérifient les sources d’information et ne se laissent pas entraîner par des campagnes de désinformation visant à déstabiliser et à nourrir les agendas séparatistes.

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