La Direction Générale poursuit en justice un propagateur de fausses allégations concernant la prison d’Azilal.

La Direction Générale poursuit en justice un propagateur de fausses allégations concernant la prison d’Azilal.

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La direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion a démenti, dans un communiqué, les allégations contenues dans une vidéo circulant où un individu ayant des antécédents judiciaires affirme qu’il y a eu des « décès parmi les détenus à la prison locale d’Agadir », ainsi que « le non-accès aux soins médicaux pour les détenus blessés », et des allégations de « torture, de viol et de harcèlement psychologique à l’encontre de mineurs ».

Cette direction a confirmé que ces accusations sont infondées, précisant qu’aucun décès n’a été enregistré parmi les détenus impliqués dans les récents incidents de troubles, que ce soit dans la prison locale d’Agadir 1 ou Agadir 2. Elle a indiqué que seuls quatre mineurs sont blessés, leur état de santé étant stable, et qu’ils reçoivent un suivi médical régulier de la part de l’équipe médicale de l’établissement.

Concernant les conditions d’accueil des détenus mineurs, la direction a précisé que des chambres spéciales leur avaient été réservées, répondant aux normes de santé requises. Elle a fortement insisté sur le fait que les allégations concernant leur torture, leur viol ou leur harcèlement psychologique sont de pures fabrications. Le communiqué souligne que les mineurs sont considérés comme une catégorie vulnérable au sein des établissements pénitentiaires et qu’ils sont traités avec la prise en compte de leur situation particulière, respectant leur dignité.

Face à la gravité des accusations formulées dans cette vidéo, la direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion a décidé de déposer une plainte officielle contre la personne concernée auprès du procureur compétent afin qu’elle prenne les mesures légales nécessaires.

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