L’un des enjeux majeurs du référendum sur la nouvelle constitution en Algérie, qui s’est déroulé dimanche 1er novembre, était le taux de participation. La campagne pour le « oui » a été à tambours battants, même si la propagation du coronavirus a « refroidi » les enthousiastes. Les militants du » Hirak » et d’autres acteurs de la scène politique ne se sont pas sentis concernés par une échéance dont l’issue était connu d’avance.
Selon certaines sources, le taux de participation a été l’un des plus bas. En effet, à peine 23,7% de l’électorat éligible ont fait le déplacement aux bureaux de vote. Au finish, 66,8% ont voté pour, apprend-on.