En raison d’un accord entre l’OMS et le laboratoire américain Pfizer qui prévoit un portefeuille de vaccin pour les pays les plus pauvres, certains pays se voient retarder la livraison.
En exemple, Le Mexique qui devait initialement recevoir 400 000 doses hebdomadaires du vaccin Pfizer ne recevra que la moitié de sa commande, comme l’a précisé le président Lopez Obrador lors d’une conférence de presse le 18 janvier rapportée par Reuters, déclarant que
le gouvernement souhaitait compenser cette réduction des livraisons ch avec celles d’autres fournisseurs.
Cela a bien été confirmé par le ministre des Finances, Arturo Herrera dans sa déclaration à une radio locale que le Mexique avait besoin de quelques jours pour achever le processus d’approbation du vaccin et qu’il passerait une commande pour 12 millions de doses de Spoutnik V.