Dans ce visage nu
de l’absence
un désert de regards
sur des mots
de sables
là où le ciel bas
ne pleut pas
et rien ne fait l’écho
Sauf ta voix lointaine
dans ce silence
enfoncé
dans la poitrine
soupirant
profondément
dans les taudis de l’àme,
n’aura pas le temps
de parler
ni cesser d’écrire …
Nos silences d’antan !
Fatiha Bellati