Dans un climat rappelant l’époque sombre de la chasse aux sorcières, certains acteurs s’efforcent de manipuler l’opinion publique sous prétexte de défendre des libertés fondamentales. Ces manœuvres, menées par un trio composé d’un journaliste, d’un avocat et d’un président d’association, visent à semer la confusion et à affaiblir les institutions marocaines en détournant l’attention de leurs propres pratiques douteuses.
Pendant des années, ces trois figures ont exploité leur visibilité pour monter l’opinion publique contre les institutions du pays. Sous couvert de lutte pour les droits ou la transparence, ils ont inlassablement ciblé des responsables publics et des institutions judiciaires, multipliant les accusations infondées. Mais le masque est tombé lorsqu’ils ont décidé de s’attaquer à des journalistes qui avaient le courage de dévoiler leurs activités. Ces derniers ont fourni des preuves tangibles mettant en lumière des pratiques d’intimidation, d’escroquerie et d’exploitation des failles du système.
Face à ces révélations, le trio a changé de stratégie. Plutôt que de répondre aux accusations, ils ont intensifié leurs attaques, manipulant l’opinion publique à travers une rhétorique bien huilée et recourant aux menaces. Ils ont également tenté de se poser en victimes, sollicitant des soutiens internationaux et accusant le Maroc de réprimer la liberté d’expression. Cette tactique vise non seulement à détourner l’attention de leurs actes, mais aussi à ternir l’image du pays sur la scène internationale.
Par ailleurs, les journalistes marocains qui ont dénoncé ce trio ont révélé leurs relations avec des individus vivant à l’étranger, notoirement connus pour leur trahison envers la nation. Parmi eux figurent des noms tels que *Hicham Jerando, **Zakaria Moumni, **Mohamed Hajib*, et bien d’autres, impliqués dans des campagnes visant à ternir l’image du Maroc. Ces réseaux, largement instrumentalisés sous couvert de droits humains, tentent d’exploiter la moindre opportunité pour attaquer la cohésion nationale. Il est essentiel de souligner que des enquêtes récentes ont également révélé l’implication de certains citoyens marocains dans ces réseaux, qui cherchent à instrumentaliser des concepts nobles comme les droits humains pour couvrir leurs propres intérêts ou servir des agendas politiques hostiles.
Aujourd’hui, malgré les preuves accablantes et les dénonciations publiques, ces individus restent libres. Leur impunité ne résulte pas d’un vide juridique, mais d’une manipulation extrême de l’opinion publique et de l’utilisation cynique de concepts comme la liberté d’expression pour se soustraire à la justice.
Cette situation souligne un paradoxe inquiétant : alors que la liberté d’expression est brandie comme une valeur essentielle, elle est détournée par certains pour justifier des abus et protéger des intérêts personnels. La justice marocaine, quant à elle, est accusée à tort d’agir de manière répressive, alors qu’elle ne fait qu’appliquer la loi face à des actes répréhensibles.
Il est crucial de rappeler que les journalistes qui ont révélé ces vérités ont eux-mêmes été la cible d’attaques virulentes. Au lieu d’être salués pour leur courage, ils ont été diffamés et intimidés, victimes des mêmes réseaux qu’ils cherchaient à dénoncer. Leur engagement à fournir des informations fondées sur des faits tangibles est une preuve supplémentaire de la nécessité de protéger le rôle de la presse dans une société démocratique.
Le Maroc ne peut tolérer que des individus utilisent des plateformes publiques ou des tribunes internationales pour saper la cohésion nationale. Les citoyens marocains, conscients de la gravité de cette situation, ont lancé une campagne nationale appelant à la responsabilisation de ces acteurs et à des poursuites judiciaires contre ceux qui abusent des droits et libertés pour commettre des infractions graves.
Le moment est venu de dire stop. Les institutions marocaines, qu’il s’agisse de la justice ou des médias, jouent un rôle crucial dans la préservation de la stabilité et de l’état de droit. Lutter contre les abus ne relève pas de la répression, mais de la défense de l’intérêt général et de la protection de la vérité.
La justice doit continuer à faire preuve de fermeté, et les citoyens doivent rester unis pour dénoncer ces manipulations. Car ce n’est qu’en protégeant nos institutions et en soutenant les journalistes intègres que nous pourrons garantir un avenir fondé sur la transparence, la justice et la dignité.