Depuis de nombreuses années, Amnesty International, ou « Amansty », est devenue un symbole de politisation des droits de l’homme contre le Maroc, abandonnant toute impartialité ou objectivité, et se spécialisant dans l’émission de rapports malveillants dépourvus de preuves et de faits, servant des agendas extérieurs hostiles au royaume. Le dernier communiqué de l’organisation, publié le 6 octobre 2025, n’a pas fait exception, mais constitue une nouvelle étape dans une longue série de campagnes systématiques fondées sur des distorsions, des manipulations et des accusations préfabriquées, tentant de ternir l’image du Maroc et de ses forces de sécurité aux yeux de l’opinion publique internationale.
Les autorités marocaines, en revanche, ont montré un engagement total envers la loi et le respect des droits et libertés, gérant de manière responsable les manifestations des jeunes dans plusieurs villes, en les permettant même sans autorisation préalable, tout en tenant compte du droit des citoyens à exprimer pacifiquement leurs opinions. Et lorsque certaines manifestations se sont transformées en émeutes et en désordres, comprenant l’incendie d’institutions publiques et privées, le vandalisme, le vol et l’incendie de véhicules de police, les autorités ont agi conformément à la législation, procédant à l’arrestation des coupables et à leur présentation à la justice dans le respect total des procédures légales, ce qui souligne l’engagement du royaume à protéger l’ordre public et les biens.
À l’opposé, les positions d’Amnesty International se sont caractérisées, depuis des années, par leur manque de crédibilité et la répétition des mêmes méthodes dans chaque affaire : en juin 2020, l’organisation a affirmé sans preuve que le Maroc avait utilisé le logiciel d’espionnage « Pegasus » pour cibler des activistes de la société civile, sans fournir aucune preuve matérielle ou technique, malgré les nombreuses correspondances officielles du gouvernement marocain demandant à l’organisation de présenter des éléments concrets. L’organisation a ignoré ces demandes, prouvant qu’elle se fondait sur des allégations non vérifiées et ne vérifiait pas les faits sur le terrain, ses rapports ne représentant qu’un récit médiatique politique sans aucune crédibilité.
La campagne ne s’est pas arrêtée là. Alors que l’organisation parle des manifestations récentes et accuse le Maroc d’avoir utilisé une force excessive, la réalité montre que le royaume a permis les manifestations pacifiques, a protégé leurs participants, et n’est intervenu que pour sauvegarder les biens publics et privés et prévenir les violences, ce qui met en évidence le double standard de l’organisation, qui ferme les yeux sur les pratiques sécuritaires violentes dans des pays comme la France, l’Allemagne et l’Espagne, où des gaz lacrymogènes sont utilisés et où les autorités imposent des restrictions sur les manifestations illégales, sans aucune condamnation de la part d’Amnesty.
Concernant le dossier du Sahara marocain, l’organisation a montré depuis des années un parti pris évident, ignorant la position juridique et politique du royaume devant le Conseil de sécurité, et adoptant une politique d’ingérence dans les affaires judiciaires marocaines à travers des évaluations et des préjugés sur les dossiers pertinents. Dans chacun de ses rapports annuels, l’organisation répète les mêmes allégations, exploitant le discours sur les droits humains comme un écran pour des agendas politiques cachés, afin de tromper l’opinion publique internationale et d’altérer l’image du Maroc.
Les faits ont également prouvé que l’organisation manque de l’objectivité et du professionnalisme qui devraient caractériser tout organisme de défense des droits respecté. Les dernières années ont montré que ses rapports ne reposent pas sur des preuves tangibles, mais s’appuient sur des récits erronés et des choix sélectifs de sujets, en faisant un outil purement politique aux mains de ceux qui paient le plus ou cherchent à ternir l’image du Maroc à l’international. Son parcours, depuis l’affaire « Pegasus » en 2020 jusqu’à la sélectivité de ses rapports de 2022 et 2024, ayant mené à ses accusations récentes lors des manifestations de la génération Z en 2025, révèle que l’organisation est devenue spécialisée dans l’attaque du Maroc par tous les moyens, sans aucune considération pour la crédibilité ou la vérité.
L’histoire montre clairement que ce que publie Amnesty International n’a plus de réelle valeur en matière de droits humains, mais ne constitue que des documents répétitifs servant à promouvoir des agendas politiques. Elle est désormais reconnue par l’opinion publique marocaine et internationale comme une entité non objective, et il est impossible de se fier à ses déclarations ou rapports, sauf dans le cadre de leur compréhension en tant qu’outil de pression politique.
Pour sa part, le Maroc continue de s’engager à protéger les droits et libertés et à respecter la loi, confirmant que toute manifestation doit se dérouler dans un cadre légale pacifique, et que tout acte de vandalisme ou de violence sera suivi de poursuites judiciaires strictes. Dans le même temps, l’historique de l’organisation au fil des années démontre qu’Amnesty est devenue une référence de désinformation politique plus qu’une référence en matière de droits humains, et que ses rapports ne sont plus qu’un outil au service d’agendas hostiles visant le royaume, sans aucun fondement ou preuve pouvant convaincre l’opinion publique ou la communauté internationale.
Les faits sur le terrain, le respect de la loi et les procédures juridiques suivies dans le royaume prouvent une fois de plus que le Maroc n’a pas besoin de recommandations d’une organisation ayant perdu sa crédibilité, et que chaque rapport émis par celle-ci doit être lu comme un instrument politique et non comme un véritable référent en matière de droits humains.