La Ligue des Spécialistes de la Santé Mentale et Psychologique au Maroc a publié un communiqué de dénonciation dans lequel elle exprime son indignation face aux pratiques déshonorantes menées par des entités « prétendant fonder un syndicat » en l’absence de tout cadre légal régissant la profession de psychologue au Maroc. La Ligue considère que ces comportements sont en totale contradiction avec les principes éthiques et syndicaux, et qu’ils ternissent l’image du travail civil organisé par la loi.
Le communiqué souligne que ces entités ont eu recours à la diffamation, à l’injure, à l’insulte, au chantage et à la falsification, en utilisant des données personnelles sans fondement légal, revêtant des prérogatives que leur confèrent les lois régissant les associations et syndicats professionnels, y compris le dahir n° 1.58.376 daté du 15 novembre 1958, ainsi que le dahir du 16 juillet 1957.
La Ligue affirme que la défense d’un cadre légal définissant et régissant la profession de psychologue au Maroc est une exigence légitime et urgente, qui doit être abordée au sein des institutions officielles et civiles conformément aux lois en vigueur, loin des pratiques de chantage et de diffamation.
Elle réaffirme également son soutien total à son président et ses membres, ainsi qu’aux enseignants de psychologie de l’université Ibn Tofail, aux diplômés des programmes de master, et à l’Association nationale des spécialistes en psychologie clinique du Maroc, face aux tentatives de dénigrement et de chantage médiatique.
Le communiqué appelle tous les concernés à recourir aux voies légales garanties par la Constitution pour poursuivre les entités responsables de ces pratiques, en affirmant que la Ligue continuera de défendre ses droits et ceux de ses membres selon les lois et règlements en vigueur.
La Ligue des Spécialistes de la Santé Mentale et Psychologique au Maroc confirme que toutes ses activités et son siège sont légalement enregistrés auprès des autorités compétentes, et que toute contestation de sa légitimité porte en elle des arrière-pensées de dénigrement et de mise en péril des institutions officielles et professionnelles.





