Hicham Girando… De la tribune de la honte aux façades du chantage

Hicham Girando… De la tribune de la honte aux façades du chantage

- in Société
IMG 20250420 WA0038

Hicham Girando… d’un podium de la malhonnêteté aux vitrines du chantage

De l’autre côté de la faillite morale et professionnelle, apparaît le nommé Hicham Girando, brandissant ses mensonges répétés et se lançant dans ses dernières batailles perdues contre les honnêtes gens de ce pays, prétendant dénoncer la corruption alors qu’il est jusqu’au cou dans le marécage du chantage et de la diffamation. Cet individu, qui fait l’objet de multiples plaintes au Maroc et au Canada, n’a trouvé d’autre moyen de rester sous les feux de la rampe qu’une tentative désespérée de nuire à la réputation de la Direction Générale de la Sécurité Nationale, et d’attaquer de hauts responsables reconnus pour leur intégrité et leur dévouement au service de la loi et de la patrie. Il sait mieux que quiconque que ceux qui dirigent leurs flèches vers des institutions bien ancrées ne le font pas pour défendre la vérité, mais pour fuir celle-ci.

Et parce que son unique arme est la calomnie, Girando n’a pas hésité à diriger ses attaques vers une figure emblématique de la gouvernance sécuritaire au Maroc, un homme qui travaille dans le silence et qui répond par les résultats, non par des mots. Abdellatif Hammouchi, dont le nom est désormais associé à des réalisations sécuritaires sans précédent, et à une compétence reconnue internationalement, est devenu la cible de lâches à l’étranger lorsque ceux-ci ont échoué à faire face à la vérité, optant pour la déformation.

Mais les Marocains savent que quiconque cherche à atteindre cet homme vise en réalité toute la nation. La confiance royale dont il bénéficie, et l’accueil populaire du travail de la Direction Générale de la Sécurité Nationale, sont bien plus puissants que les cris d’un cherchant à extorquer qui n’a même pas réussi à laver son honneur à l’étranger. Girando, l’ennemi de la justice, ne dispose pour soutien que d’un passé criminel et de pratiques déshonorantes. Homme devenu marchand d’injures, et trafiquant d’affabulations, il ne maîtrise que la manipulation des faits et l’amplification des illusions, dans une tentative d’acheter une légitimité qu’il ne possède plus, ayant perdu sa réputation tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Nos institutions, en tête desquelles la Direction Générale de la Sécurité Nationale, n’ont pas besoin d’un défenseur, mais de l’exposition de ceux qui cherchent à ternir leur image par des langues à gages. Le dispositif sécuritaire marocain repose sur une doctrine nationale rigoureuse et une haute éthique professionnelle, et aucun petit mercenaire ne peut ternir l’aura de confiance qui l’entoure.

Ce que pratique Hicham Girando n’est ni un avis, ni du journalisme, ni même une opposition. C’est un chantage flagrant et une agression lâche contre une patrie sûre. S’il a le courage de parler, qu’il ait l’honneur de se confronter à la justice, au lieu de se protéger derrière un passeport étranger et un écran abîmé.

Le temps d’aujourd’hui n’est pas à la passivité, mais à la riposte. Quiconque se permet de malmener la réputation de l’État et de ses hommes se trouvera face à des institutions robustes, à une justice inflexible, et à une opinion publique qui commence à réaliser que les pires ennemis de la nation ne sont pas ceux qui outrepassent la loi, mais ceux qui se cachent derrière le masque de la liberté d’expression en étant l’expression même de l’absence d’honneur.

Loading

You may also like

Décès du Pape du Vatican à l’âge de 88 ans

Le Vatican a annoncé, ce lundi, le décès